Oh ! Marcel va être content, sa barbe va friser et avec la neige qui tombe, va doubler de volume !!!
Bon au moins ta solitude ne sera pas noire aujourd'hui, et elle sera douce,

clin d'oeil:

ben oui le soleil des uns fait de l'ombre aux autres, sans jalousie ni méchanceté, c'est vrai, quoi qu'on, en dise il nous faudrait un soleil pour chacun...

Super Sorti ! Il fallait y penser ! Marcel va être content ! J'ai adooooré tes vers plein de légèreté qui virevoltent gaiement ! Mon ordi n'arrête pas de planter alors c'est vraiment la galère pour me connecter ! En tous cas, voila des vers qui mettent de bonne humeur ! BONNET BIEN BIEN BIEN BAS Sorti ! gros bisous et douce soirée loin des vilaines pensées !! à bientôt !!

Oh, Sortilège, si tu savais ma profonde solitude; ce n'est pas une solitude triste, mais sereine, nécessaire à l'écriture et le troupeaux des collines que je surveille dès l'aube me renvoie toujours à la vie et aux hommes qui passent dans la rue. Sur une photo on pose, pour ne pas déplaire, pour ne pas se déplaire et le sourire s'accroche dans le cadre, voyage sur le net. Instantané dit-on, que voulez vous que je vous dises; que j'ai ma tête des beaux jours chaque fois que les gens s'aiment, se le disent et s'ils se le disaient davantage, je crois bien qu'on irait vers l'été.
La bonne humeur des autres est souvent contagieuse.
Kissous, bisous, et tout plein de mots doux, amis poètes.

Marcel Faure a écrit:

Oh, Sortilège, si tu savais ma profonde solitude; ce n'est pas une solitude triste, mais sereine, nécessaire à l'écriture et le troupeaux des collines que je surveille dès l'aube

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chaque fois que les gens s'aiment, se le disent et s'ils se le disaient davantage, je crois bien qu'on irait vers l'été.
La bonne humeur des autres est souvent contagieuse.
Kissous, bisous, et tout plein de mots doux, amis poètes.

Plic, émue ! tiens je ne veux pas troubler ta solitude... alors je me suis mise là bas, pas trop loin, à la lisière de la forêt. je te vois...et aussi le troupeau... Rci Mcel

Marcel Faure a écrit:

Oh, Sortilège, si tu savais ma profonde solitude; ce n'est pas une solitude triste, mais sereine, nécessaire à l'écriture et le troupeaux des collines que je surveille dès l'aube me renvoie toujours à la vie et aux hommes qui passent dans la rue. Sur une photo on pose, pour ne pas déplaire, pour ne pas se déplaire et le sourire s'accroche dans le cadre, voyage sur le net. Instantané dit-on, que voulez vous que je vous dises; que j'ai ma tête des beaux jours chaque fois que les geons s'aiment, se le disent et s'ils se le disaient davantage, je crois bien qu'on irait vers l'été.
La bonne humeur des autres est souvent contagieuse.
Kissous, bisous, et tout plein de mots doux, amis poètes.

La Solitude qui contemple les troupeaux de collines et espère que les hommes s'aimeront d'avantage, la Solitude qui offre à aimer son bonheur de vivre et partage son cœur en semant ses mercis. Cette Solitude de sagesse qui s’accommode de soi-même et pardonne au monde, si elle est contagieuse, c'est un virus qu'il nous faut tous attraper. Tu n'as plus qu'a distribuer tes bises sans compter.