Les jours d'insouciance s'en sont allés Le froid s’infiltre dans mon corps usé Comme il est loin le temps des étés où les rires éclataient, légers. Les flammes ont léché les rêves éthérés Leurs cendres, se sont posées...
c'est en essayant que je deviendrai forgeronne Alors je ponds ces vers pour faire ma matrone Je veux vérifier si le site ronronne Il nous joue des tours à la façon poltrone Je veux voir comment il se comporte chère Yvonne Quand je fais un transfert de mots-minestrone.
Comme c'est agréable d'être sage toujours bien sapé à la page prendre les autoroutes à péage fermer ses volets à l'orage être aveugle à tous les naufrages sourd aux sempiternels tapages et s'endormir comme une image