Voilà qui est dit et bien dit, il y a toujours plus malheureux que soi et il faut toujours voir la lueur, même si elle est toute petite, elle est là ! Merciii Priscilla pour cette leçon de vie ! Même si c'est parfois hyper dur il faut positiver, comme le disait Voltaire "le bonheur est un choix" en tous cas CASQUETTE BIEN BAS pour la pertinence de tes vers, juste à la 2e ligne tu as oublié le s à étais et aussi toujours dans la 2e ligne 5e et dernière "pense" sans s car c'est un impératif, voilà m'dame c'est tout ! pour corriger tu fais "éditer" et c'est tout bon ! bisous et douce journée loin de ce monde martyrisé ! A bientôt !! 

Merci beaucoup Eponine52, pour ton com, et pour tes corrections. Malheureusement pour moi, j'ai la sale manie d'oublier les "s" quand il les faut et de les mettre quand il n'y en a pas besoin... C'est tout moi. Lol.
Ces mots m'ont été inspirés par deux personnes, la première qui en a parlé, la seconde qui l'a fait et nous a laissé un grand grand vide il y a peu... Tellement mal. J'aurais aimé qu'elle nous parles. Nous aurions peut-être pu l'aider... Enfin, la vie est ainsi, il faut faire avec, même si c'est très dur, parfois trop dur... 
En tout cas, merci, et j'espère vraiment que ce petit texte pourra en aider certains...

Je suis d'accord et pis c'est tout.... Kisossous

Précieux conseil, mais quand il a besoin d'être, il est souvent trop tard. Le désespoir se monte petit à petit et érige une prison aux murs épais qui isole le désespéré. Parfois pourtant il arrive à parler, et ce n'est pas toujours ce qu'il devrait entendre qu'on lui dit. J'en ai connu aussi, même des personnes qui ont prévenu l'entourage, qui souvent pris au dépourvu, préfère croire que ce sont des mots en l'air et se détourne de la personne se sentant incapable de gérer. Le désespoir est tueur et il a plusieurs visages. et une fois son forfait accompli il laisse des blessures profondes et des reproches inconsolables dans le cœur de ceux qui n'ont pas su voir ou entendre et qui n'ont pas trouvé les mots ou les actes qui auraient, se disent-ils, pu changer quelque chose. Il y a tant de critères différents dans ces actes désespérés que c'est un miracle d'être là juste au bon moment, et de dire juste les bons mots, ou de saisir la portée de la violence silencieuse qui se trame juste à côté. Ton texte me fait me souvenir de certaines choses et me fait mesurer combien parfois, après, ceux qui restent peuvent se torturer en s'accusant ou en remords ou en regret. Mais dans ce genre de situation, je crois que c'est la société entière qui est responsable et rien ne dit que les bons mots au bon moment, même d'un ami sincère, empêchent quoi que ce soit.... C'est tellement dur de vaincre le désespoir, et seule la personne qui en est atteinte le peut. Nulle autre.
Ton texte a résonné en moi, et du coup j'ai lu les commentaires et j'ai mieux compris ce ton de désarroi que je sentais en te lisant. Je suis de tout cœur avec toi.

tu as sûrement raison Claire, mais la vie a tellement de belles raisons de rester, les enfants, les petits enfants, je ne comprends pas et ne comprendrais jamais. 
Quand je suis mal, je pense, regarde mon petit et tout va mieux, je suis persuadée au plus profond de moi que certaines choses peuvent nous retenir sur terre, malgré tous le désespoir du monde... 
Mon coeur saigne encore, et saignera toujours, j'espère seulement qu'elle est mieux là ou elle est, et que je n'aurais pas à revivre ce genre de chose, un décès est une chose, un suicide en est une autre, beaucoup plus difficile à accepté, surtout quand on dans ces circonstances. 
A toi qui est partie beaucoup trop tôt, repose en paix, où que tu sois ! <3

Oui, Ellya, c'est ce que l'on se dit quand on peut réfléchir. Parfois on ne peut plus. Je peux te l'assurer, et le fil est souvent ténu pour ne pas basculer de l'autre côté. dans un sens comme dans l'autre il faut parfois peu de choses pour plonger.  Parfois les voix de l'incapacité, de celles qui disent que tout est trop tard, crient tellement fort, montrent des images tellement horribles, qu'il est impossible d'entendre ou de voir autre chose que le désespoir qui serre le cou de ceux qui en sont victimes. J'ai travaillé en psychiatrie, si tu savais comme certains s'accrochaient, écorchés vifs. Mais il y en plus qui rebondissent que le contraire,  heureusement, pendant un temps au moins, et pour certain le fait d'avoir vaincu une fois, les rends "vainqueurs" toute leur vie". C'est comme un vaccin.
Tu fais bien de lui parler et de lui prodiguer tes vœux, cela fait partie de l'essentiel maintenant. Merci de ce petit échange précieux.