Un texte de l'amour de l'humour en politique DE PANAME A PANAMA(Of show expliqé aux nuls) ''Laissez parler les p'tits papiers'' chantait Régine que les moins de 6o ans ne peuvent pas connaître (paroles de Gainsbourg) !!! Ils font couler autant d'encre que de salive les ''Panama papers'', ces billet d'ordre doux se transmettent sous le manteau noir des secrets de l'opti-atomisation fric squale. Une spécialité des requins de du racket de l'oseille des sales à lier au poteau de la loi grave et gave aille à aille. Le prince hips! est simple: il suffit d'ouvrir des comptes barils (euh bidons) en cascades et l'or au noir circule en permanence dans des bons tuyaux des olé aux ducs des riches hard, des barons de laine tondue sur les chines du prolo lambda. Plus les canaux à lise sont complexes plus il est art du suivi les flux bousiers, ces braques cœur deviennent les vidangeurs du dégoût des déposants leur blé aux six loteries des marchés du CACa et les 4à voleurs.
Toutes les vieilles huiles usagées des vies d'anges sont recyclées dans cette raffinerie de l'argent sale et noir, une lessiveuse décapant avec la lessive des complicités aux enzymes très gloutons de sueur et de larmes s"écoulant aux regards sans fonds de pensions. Ces usines de pompage du fric social sont gérées par des rats fouineurs du code des uns pots de vie nasses où croupissent les vairons véreux. Devant cette merde étalée au grand jour des lucarnes de télé-réalité, le peuple gronde, hein!! Normal. Ce sic thème a pour joli nom de ''pare addicts festivals'', éden des pro fouteurs de flouze de fraude, heureux!!
Bien sûr, devant ce tollé de réprobation généralisée, les pôles y tiquent et annoncent à grand renfort de clairon médiatique que ça va cesser, c'est sûr!! Le pas nié de crabes sera mis en maillot niaise, fini le temps des colles aux niches fesses cales dans les faux Auteuil-Passy des agencements banque routières de ces méfaits délits tue eux.
La con plainte , est conne nue, on l'entend sur toutes les ondes-déjà en 2008, ''l'homme nie président'' avait déclamé que les paradis étaient perdus, mais le Dieu Le Pèze les a déménagés dans des nuages moins visibles, le ''moi président'' suivant, est resté les armes aux pieds des saints patrons tendant l'oreille à Saint Glinglin, un martyr du temps qui très passe lentement.
Le peuple n'a plus que le lisier pour pleurer, pour régler ce problème d'engorgement des trafics des ex-crême ment, il suffit de fermer les rabbis niais et d'abolir la dette en indiquant aux fines anciennes que le pognon se trouve dans les tubulures de leurs entourloupes ratées, à eux de nettoyer les écuries d'eaux chiasse!!
Tigery le 8 avril 20016 (Humeur d'humour)
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