Précision suite à mon départ (suppression décidée) de FB.
Selon quelques auteurs, poètes, et autres...
je n'ai" aucun respect", je ne fais" aucun effort", je ne suis "aucune règle", il faut "passer un temps fou pour comprendre mes mots" et
surtout
je m'offre la liberté d'écrire comme cela me vient :
SPONTANEMENT
et !!!! horreur...j'impose à ma plume de poursuivre sans regrets, sans remords.
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Suite à "ça", malgré "ça" et bien des efforts...(oh oui je vous l'assure)
je suis et resterai toujours moi-même, j'espère. Et je ne suis pas désolée (enfin).
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N'en déplaise aux bons conseilleurs....
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Des nuées d'oiseaux filant d'ici...
Les cygnes de Quélern s'approchant des hommes oeuvrant dans les parcs d'huîtres...
Tant de chevreuils en nos jardins, à l'affût du bourgeon téméraire...
Et le soleil réchauffant notre terre, nos maisons et nos coeurs
quelques heures...Quelques heures de gourmandise.
Là
...
Des chevilles passant les ornières..
Les rêveurs intemporels lisant, tantôt, sur les bancs de bois froid, en leurs polaires...
Tant d'eau parfois les réveillant, surpris par la marée, ébahis, ébaubis, éblouis...
Faux élan du goéland déçu de n'avoir rien gobé...
Et les pommes de pin déversant leurs asticots.
Là
...
De la graisse sur les babines de mon chien....
Les" absents qui ont toujours tort", qu'en est-il du Front ?
"Temps triste ici " : dit une amie. Non, "ça roule" : dit...qui ?? déjà ?
Alors je laisse mon thé, la fenêtre ouverte, je noie mon téléphone
et je n'attends plus rien. J'aime l'instant, et hier, et demain.
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Tant que je serai Là
je ne mourirerai jamais.
Valérie Benz
02/12/16
03.12.16 8:36 par valerie benz