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Jeux dans nuit Je ne puis demander à la lune rêveuse De me couvrir d’iris au seuil de mon soufroir Ni de bercer ma nuit sous sa jupe fileuse, Lors des clins d’oeil corail réchampis du lustroir…
Divague, vague à l’âme, en "pleins" de déliés.
Seul dans ce soupirail, j’arpente la mesure D’un bémol accroché sur le pic d’un glacier. Sans glisser dans l’abîme et tressant la brasure Je mouds ces grains d’ennui déraillés par l’acier… |
réponse faite à Epo sur son poèmeL’INSOMNIAQUE.
Tourmentée par des pensées moroses Elle tourne et tourne dans son lit prison, Immobilisée dans ses draps roses
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La nuit tombe comme un couteau traverse et pénètre ma chambre noire Âme à nu en proie aux nocturnes maux |
Je suis un mur haut, bien que rien qu’une pierre, tout petit grain de sable je suis toute la plage, juste une goutte d’eau je suis toute la mer, et même le ciel entier en n’étant qu’un nuage.
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Coucou à tous, J'ai pu mettre certains de mes poèmes en images et je voudrais les partager avec vous ( puisque j'ai compris comment poster une image éè ) Ils datent de mes débuts et ce serait une bonne façon de mieux me connaître. Gros bisous à tous (toutes) Luky |
vendredi 9 août 2013 0674 AllianceLa plume |
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Cheveux-ruisseaux Une étonnante route Elle empreinte les doutes Se laisse deviner La douce curiosité Une petite étincelle Deux nouvelles petites ailes Te regardent sans détour Te montrent leurs contours Des cheveux-ruisseaux Flottent sur le dos Eblouissent de mille couleurs Enivrent de mille odeurs Et quand plongent ces yeux Oh, ses yeux Tenter un sourire Deux, trois mots à dire Au fond du cartable Un petit grain de sable La larme qui coule Au milieu de la foule.
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[size=16]Nous n'irons plus au bois….[/size]
[size=16]Ce soir, il fait noir dans la tanière[/size] [size=16]On s'prend les pieds dans les ornières[/size] |
[size=18]Idiot, Puisses-tu…[/size] [size=18]Sur la plaine riche de mystères[/size] [size=18]Vois ce désert, cette solitude[/size] |
[size=18]La dérive[/size] [size=18]A de nouvelles latitudes[/size] [size=18]L'archipel des solitudes[/size] |
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Paquebots Vos cargaisons de touristes qui ne voient pas la mer De la marchandise à deux pattes qui graisse le pont de crèmes solaires |
[size=16] Sur un papier de soie, tressée dans les fibres,[/size] [size=16]Un charme du passé, un dessin de ses tours...[/size] [size=16]Babel en chantant dit, puis s'est tue pour toujours :[/size] |
poème associé à sa sculpture |
Paroles ôtées par dépit des froissés Résignation à la pénombre où se tenir le corps tout entier en répit à des jours allés si sourds au ventre.
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Châle en grain de l’inattendu mes heures heurtées à l’eau crachin pleurent aux devers de l’impromptu.
Il pleut comme au retrait d’un jour passé aux rives des détours, les pensées glissent éparses issues de leur déroute à l’essentiel en imprévu d’un autre ciel.
Effilées au soudain des nues s’invitent là quelques lenteurs qui tournent aux flaques le sursis des couleurs d’un peu de bonheur. La durée s’offusque et maudit l’impalpable des mains qui s’envient. |
Quand mon esprit est à fond d' cale que je m'enfonce dans mes dédales J'quitte le grand carnaval |
si tu venais sous mon coin de parapluie ?Oh! Luky, mon ami, franchement, je suis toujours étonnée par la puissance de tes vers... Les coups au cœur...Tu as raison Luky, oui, ça fait ça... Et si notre amie Vivi est de bon conseil, il n'est pas toujours facile de faire pareil. Et pourtant, ne serait-ce qu'un instant, s'efforcer de regarder ailleurs,... |
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la danse des jours et des mots 0670lundi 5 août 2013 Mes rêves englués de souffrance Lestés... |
[size=24][size=18][size=18]Larmes[/size] de suie[/size][/size] [size=24]Le brouillard voile ce qu'il peut[/size] [size=24]Voile ce qu'il veut[/size] |
À Henri Simon Faure
Au mouton pourrissant dans les ruines des villes
Vivants pourtant sous les ors des palais
Vieux cartons et guenilles
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Beau comme corbeau Beau Cruel Beaucru |
C'est un poème qui ne sert à rien Avec des mots qui ne veulent rien dire Il ne faut pas aller chercher très loin C'est un poème facile à écrire Qui tourne en rond et puis qui tombe à plat |
Aux fondus verts, l’avez-vous vu
le printemps éveiller sa mine
à ciel où vers rieurs affluent ?
Badins, de l’hiver...
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Écrire
S'étirer au matin de tes ourlets prisés Dans l'éclat du dieu Râ, respirer la lumière D'un grimoire guimauve à la brume faîtière Se réveiller au miel des lacs agonisés...
Dénoyauté le temps pour ne plus qu'il existe Le plaquer sur les murs, le figer dans le ciel Puisqu'un point culminant décalque le solstice...
De sa gorge nouée en délier les sons De sa prison dorée abattre les cloisons
Apophonie* au timbre étreint d'un céramiste...
Libérer les oiseaux, en cage, en liberté Apporter... |
[size=18]Un détail dans le décor[/size]
[size=18]Il y a des pluies étranges[/size] [size=18]Des larmes dans les granges[/size] |
[size=16]Allongée sur son lit, c'est sa vie pour toujours. [/size][size=18]Les escarres aux fesses, désormais [/size][size=18]logées[/size] |
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