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Le meilleur de moi... M’aime! Entre, en tes hauts... Rient! Et tes hors... Aiment! le meilleur de moi, m’ aime! Comme mat aima tic Et tac! l’entraîne... Sans que tout ça soit hors de... Prit! Sans que qui que ce soit fasse de m’ aime... Une obligation Une institution Sans que qui que ce soit trame la rame... Haine! Sans que rien, là, de trop courant nous entraine. Le meilleur de toi, m’aime! Sans que même tu le saches Sans que m’aime se dise de même. Sans que même on s’attache A prouver la moindre graine. Sans... |
Sans dire,
essoufflée aux veines de ses ruelles
la langue amoureuse lève un pied,
ou deux.
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Fable (Adaptation libre)Le poussin, la vache et le renard. Fable (adaptation libre)
Un oisillon s'impatientait dans son nid. Ses parents lui apportaient des lombrics et des insectes. Et lui disaient : mange! tes ailes ne sont pas encore assez robustes. Mais le poussin ayant dévoré un jour se sentit prêt, sauta sur le bord du nid et plongea. Bardaf! Par terre. Piou-piou-piou, piailla-t-il, désespéré. |
Fable moderne. (*)[size=16]Le vieil homme est largué [/size] [size=16]Mais il s’obstine [/size] [size=16]Dans ses illusions.[/size] [size=16]La belle enfant[/size] [size=16]A beau lui expliquer[/size] [size=16]Rien n’y fait.[/size]
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La nuit rapace Le ciel a couvert les blés de nuées Plaine sous le vent, le verdier s’endort Je voudrais aimer, l’âme délivrée Celle qui m’a pris mes derniers remords Plaine sous le vent, le verdier s’endort Chante le ruisseau, dans le clair de lune Celle qui m’a pris mes derniers remords Sous ses habits d’or a la peau si brune Chante... |
Parce que je ne sais pas encore Vivre en connaissance de cause Parce que je suis encore dans le décor Encore trop doué pour d’autres choses…
Parce que j’ attend encore la reconnaissance D’être connu, d’être reconnu,
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Les fantasmes au sommet de l'extase s'envolent sur les ailes de Pégase. Vers un jardin secret et imaginaire, Aux fleurs fabuleuses et de lumière. On y cultive de légères illusions et rêveries. Car elles sont nos intimes et tendres amies. Ce ne sont que massifs de tendresse et d'amour. Il en fleurit la nuit mais aussi tous les jours. Les bordures sont bien entretenues et jolies. Plantées de grandes promesses et de petites folies. Bien cachés sous la treille, nos rêves doux, dansent et virevoltent dans nos désirs fous. |
[ltr]Quand t’es à l’un, différent...[/ltr]
[ltr]Quand t’es à l’une... Nettement,[/ltr]
[ltr]Quand tes nuits voient[/ltr]
[ltr]Que tes jours sombres,[/ltr]
[ltr]Quand tes jours voient[/ltr]
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Souvenirs acides en daube Les flots hurleurs de la mélancolie Rivières folles sortant du lit Viendront trancher les veines
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Ex- traits ....d'un....deux...trois....mariages. . . Montre-moi comment utiliser la tondeuse. - Non, tu vas te blesser. Et c'est à l'homme de faire ça. Silence. . . - Tu peux venir, j'ai besoin de toi ? Oui, j'arrive. - Tu mets les mains, là, ok, et tu vas doucement...Y a juste à poser le kart sur ces tréteaux. Oui. - Pas trop lourd ? Non. - Tu le dis, hein, parce-que si tu lâches, c'est la cata, t'es sûre, dis ? Mais oui, et arrête de croire que je vais lâcher....s'il te plaît. - Je te connais, t'es capable de le faire... |
poème des mèresLa fête fût quand j'ai ovulé au bon moment car je vous désirais tant ! . . Faites de votre mère une femme juste une femme. Pas une déesse.
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C'est l'heure du J.T. Flashs télévisés horreurs, atrocités misères banalisées
La télé, la dope de la société Surtout abrutir, lobotomiser et rendre incapable de penser Le peuple, dans le sens du poil, le brosser.
Heureusement, certains marchent de travers et refusent de s'aplatir à terre les marionnettistes en deviennent rouge de colère enfermés là-haut dans leurs tours de verre
Ça les énerve tous ces trublions ces empêcheurs de tourner en rond qui n'hésitent pas à piétiner leur dieu Pognon et refusent... |
[ltr]Tu vois,[/ltr] [ltr]Je n’ai plus envie d’écrire...[/ltr] [ltr]Plus envie![/ltr] [ltr]J’ai dans ma ligne de mire...[/ltr] [ltr]Toujours tout autant de rimes, [/ltr] [ltr]Toujours bien autant de mots...[/ltr] [ltr]Qui sont en attente d’écho,[/ltr] [ltr]Mais, j’ai des points à la ligne qui ne veulent plus revenir, arrêter quoi que ce soit[/ltr] [ltr]Des points virgules qui se trouvent ridicules, sans à venir, [/ltr] [ltr]Des virgules, trop à la fois, pouvant enfin respirées, soulever, dans l’air, exister![/ltr] |
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DuoDuo 3Passage Trois pas, la falaise, le vide Deux secondes, une envie stupide Un saut, puis c'est... |
[ltr]J’ aimerais... [/ltr] [ltr]Aimerais[/ltr] [ltr]Sans l’S[/ltr] [ltr]J’aimerai...[/ltr] [ltr]Pour garder, pour après.[/ltr] [ltr]Sans L’I[/ltr] [ltr]Aimera[/ltr] |
Les vers aux creux des pommes La furie des hommes, Petits vers aux creux des pommes Qui s'agitent sous la pluie, Qui voudrait faire du bruit Disparaîtra dans la glaise Se consumera sur la braise Pour de nouvelles... |
Les ombres Le diagnostique est tombéLa ligne sera droite, blanche, pâle, monotoneL'orage gronde au loin Il ne viendra pas par là |
Les fantasmes au sommet de l'extase s'envolent sur les ailes de Pégase. Vers un jardin secret et imaginaire, Aux fleurs fabuleuses et de lumière. On y cultive de légères illusions et rêveries. Car elles sont nos intimes et tendres amies. Ce ne sont que massifs de tendresse et d'amour. Il en fleurit la nuit mais aussi tous les jours. Les bordures sont bien entretenues et jolies. Plantées de grandes promesses et de petites folies. Bien cachés sous la treille, nos rêves doux, dansent et virevoltent dans nos désirs fous. |
[size=18]Un clou dans l'horloge[/size]
[size=18]Il faudrait arrêter de vivre[/size] [size=18]Ne plus marcher sur le chemin[/size] |
[size=18]Là-bas...tes iris[/size]
[size=18]Ce soir je plonge dans ton regard[/size] [size=18]Je prends pour de bon le départ[/size] |
[size=18]Comment te dire çà, mon amour[/size] [size=18]Je suis parti à la guerre[/size] [size=18]Ca couvait depuis plusieurs jours[/size] [size=18]Y'... |
[ltr]J’ avais envie de vous voir[/ltr] [ltr]Alors je suis passé vous le dire,[/ltr] [ltr]Envie, sans faire d’histoire[/ltr] [ltr]De faire du joli![/ltr]
[ltr]J’ avais envie pour ce soir[/ltr] [ltr]D’ écrire noir sur blanc[/ltr] [ltr]Le jour tôt ou tard, [/ltr] [ltr]Que la nuit laisse ou prend,[/ltr]
[ltr]J’avais envie de vous voir[/ltr] [ltr]Quand s’attendre à, est plus et importe tant,[/ltr] [ltr]Quand apporte tant, emporte les temps.[/ltr] [ltr]Envie en vie, osant presque mort... |
[ltr]Parce que parfois, les mots sont des regards,[/ltr]
[ltr]Qu’ils restent silencieux...[/ltr]
[ltr]Que ces mots ne sont pas tus par retard[/ltr]
[ltr]Mais cette lourde et sourde attente, ce minimum... D’yeux![/ltr]
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Poème, texte et commentaires côté Claire Obscur iciancien défi sur Ipagination |
J'suis tombée dans un guet-apens j'aurais du être plus méfiante j'ai sauté à pieds joints dedans sans réfléchir, trop... |
Côté Claire O Le poème est iciSi vous passez par ici, vous passerez par là ! la sculpture est là :[url= https://voyagination.forumactif.org/t385-hetre-ou-ne-pas-etre-la-sculpture#3189] ici[/url] |
[size=18]La mante strophe[/size]
[size=18]La mante strophe[/size] [size=18]Grignote, grignote[/size] |
[size=16]Désert, Mon père Ton silence à mon oreille Je l'entends L'histoire murmurée par le sable... Je l'entends Le troupeau tranquille le soir Je l'entends Le son rayonnant des étoiles Je l'entends La vie, à l'ombre du rocher Je l'entends A la veillée, le chant des campements Je l'entends La théière qui siffle et enivre Je l'entends La Dune sereine et changeante Je l'entends Ta voix, à l'abri de la... |
Dans ma besace à idées j'ai sorti tous mes mots puis j'en ai mis de côté et j'ai pris les plus gros ceux qui ont le point levé qui crient fort et haut qu'aucun vent ne peut faire voler des mots qui peuvent mettre KO incisifs, rebelles et déterminés qui laissent sur le carreau qu'il... |
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